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  • Projet domotique Bonsaï – raspberry

    Associer le dessin à mon plaisir de coder en python c’est possible. Les tutos arrivent bientôt. Ce projet permet d’effectuer des commandes vocales sans connexion internet afin de bénéficier selon volontés

    1. d’une musique zen avec des chants d’oiseau
    2. d’une instruction pour savoir comment prendre soin du bonsai
    3. d’un affichage de la température sur la sense-hat avec l’indication si c’est trop bas ou trop élevé.
    4. d’une lumière UV (développement en cours )
  • Café à l’Aubier
  • Extrait de « Jimmie » de Jannie
  • Monterosso, Cinque Terre

    J’adore peindre d’après une photo de vacances. C’est très reposant et cela permet de se remettre dans l’ambiance;

    ici j’esquisse rapidement avec un trait spontané une ruelle du Monterosso. Au début cela ne ressemble à rien puis la peinture va évoluer au rythme des souvenirs et du ressenti transformant inévitablement la photo en une interprétation complètement subjective.

  • La pelote

  • La guirlande de Noël

    Cette petite histoire se passe un peu avant Noël.

    Dans un village situé assez en hauteur pour que la neige répande son manteau blanc et scintillant, se trouvent deux maisons très différentes. L’une est très luxueuse alors que l’autre est simple et sans artifice. Dans la plus impressionnante des deux, vit Bertrand. Chaque année, en cette période, il reçoit des tonnes de cadeaux avant même qu’il n’ait eu le temps d’en rêver. Son jardin est illuminé de guirlandes somptueuses et d’animaux nordiques grandeur nature. Dans le salon, le sapin est si grand, qu’il faut une échelle pour y accrocher les boules de Noël.

    On pourrait penser que Bertrand est un enfant gâté. Pourtant, parmi tout ce bling bling, son seul désir serait que sa voisine, Judith, le remarque. Le jeune garçon se demande comment il pourrait faire pour attirer son attention. Il y réfléchit tant qu’il ne parvient pas à s’endormir. Pour faire plaisir à Judith, Bertrand imagine un cadeau très spécial qu’il est inutile d’aller chercher dans les magasins.

    A minuit exactement, une idée lui vient enfin. Il se rend sans bruit dans sa cave et passe deux bonnes heures à confectionner une jolie guirlande en récupérant d’anciennes décorations de Noël. Bertrand y accroche un petit billet où il écrit : «Joyeux Noël Judith, Bertrand».

    A deux heures du matin, il met ses bottes et son bonnet, puis s’empresse d’aller délicatement accrocher cette guirlande sur la fenêtre du salon de sa voisine. Un moineau se joint à lui en signe d’encouragement.

    Il est trois heures du matin quand Bertrand retourne enfin dans son lit. Il s’endort heureux d’avoir pu témoigner son affection à Judith.

    Le chant impatient du moineau le réveille au petit jour. Depuis sa fenêtre, le jeune garçon découvre sa voisine qui lui adresse le plus magnifique des sourires. Il la trouve encore plus jolie que d’habitude avec ses joues rougies par le froid. «Mais», se dit Bertrand, «serait-ce uniquement le froid la seule raison»?

  • Le Noël de Cocolait

    A l’approche de Noël, Les jours sont plus courts. Cocolait en profite pour rester dans sa chambre. De cet endroit douillet il rejoint les lieux les plus fous en utilisant son imagination. Il lui arrive de partir à la découverte d’un désert ou de grimper sur les plus hauts arbres d’Amazonie. Une fois, il s’est même rendu sur la lune. Malgré tous ces lieux extraordinaires, le pôle Nord est toujours sa destination préférée. A chaque fois qu’il en revient, il fredonne inlassablement la même rengaine à sa maman.

    – Maman, tu sais, un aventurier des grands froids comme moi a besoin d’une tenue digne de ce nom.

    Comme sa maman ne réagit pas, il se dit qu’elle ne le prend pas au sérieux. Pourtant, il n’y a rien de plus sérieux que ses expéditions au pôle Nord.

    Le jour de Noël arrive. Le salon si bien décoré et illuminé de bougies accueille toute la famille de Cocolait. Tous chantent autour du sapin. Ensuite, il est de coutume que les enfants racontent leur poésie. Cocolait, le grand aventurier qui sauve les ours polaires, a étrangement très peur de la réciter. Comme chaque année, il en ressort fier et grandit.

    C’est ensuite la partie la plus magique de la fête : la distribution des cadeaux. Cocolait qui est le plus petit, a le droit d’ouvrir le sien en premier. Qu’elle n’est pas sa surprise en découvrant une magnifique tenue d’aventurier de Noël tricotée par sa maman. Sans dire un mot Cocolait court dans sa chambre pour l’essayer. Il ne peut s’empêcher d’aller tout de suite la montrer à ses amis les ours polaires.

    Lorsqu’il revient au salon, il s’empresse de faire un immense câlin à ses parents et de dire à sa maman:

    – Merci mamounette de croire en mes aventures imaginaires.

    – Qui a dit qu’elles étaient imaginaires ? demande affectueusement sa maman tout en servant des petites étoiles à la cannelle aux invités. Puis, tendrement, elle chuchote à son lapin :

    – Joyeux Noël mon Cocolait.

    Cocolait plus aventurier que jamais avec la belle tenue de Noël tricotée par sa maman.

  • L’adolescence

    J’ai longtemps cru que cette période serait compliquée à vivre en tant que parent. Vivant le moment présent, j’espérais qu’elle arrive le plus tard possible. Et bien non, elle est même arrivée plus tôt que prévu.

    Ce qui m’a fait peur résidait dans ma propre expérience. Je redoutais ce sentiment d’égarement jadis ressenti. Et pourtant c’est en tant que maman que je me rends compte à quel point ce moment de vie est connecté avec le grand Tout et le non moins grand Rien. Le Rien car ce sont les vides qui esquissent humblement les pleins, ce sont les silences qui mettent les notes de musique en valeur…

    Alors, n’ayez pas peur, adolescentes et adolescents, il n’y a pas meilleur chef d’orchestre que vous pour jouer votre musique.

  • La petite histoire de « Petit Hérisson qui fête Halloween »

    Ce soir c’est Halloween ! Dans le village de Petit Hérisson, les humains se déguisent et festoient autour d’une délicieuse soupe à la courge. Cette année, Petit Hérisson a décidé qu’il prendrait part comme les humains à cette fête ! Depuis un an, il a eu tout le temps de se fabriquer un magnifique chapeau. C’est donc d’un pas décidé qu’il se rend à ce rendez-vous aussi effrayant que marrant. Sur son chemin, il croise Monsieur Loup. Celui-ci s’inquiète :
    – Ne me dis pas que tu comptes fêter Halloween avec les humains ?
    Petit Hérisson s’exclame :
    – Aucune raison ne m’en empêche !
    – Mais tu vas te faire piétiner, ils ne te remarqueront même pas.
    – Je me suis fabriqué un chapeau assez grand et qui fait assez peur pour faire partie de la fête ! dit Petit Hérisson.
    Monsieur Loup qui apprécie beaucoup Petit Hérisson décide de le protéger :
    – Alors si c’est comme ça, je viens avec toi et te servirai de garde du corps si nécessaire.
    – Fais comme il te plait, moi j’y vais de toute manière !
    C’est ainsi que Petit Hérisson suivi de Monsieur Loup se rend à la fête. La savoureuse odeur d’une soupe à la courge qui mijote les guide…
    Lorsqu’ils arrivent à quelques mètres de la foule, celle-ci semble effrayée de les voir. Certains hurlent de peur et tous repartent en courant s’enfermer chez eux.
    Petit Hérisson est tout triste et dit à Monsieur Loup :
    – Je crois que je leur ai fait peur avec mon chapeau.
    Monsieur Loup réconforte son ami :
    -Ne t’inquiète pas, on va se consoler en mangeant cette soupe qui semble succulente !

  • Lueur matinale à Wavre
    première aquarelle réalisée avec seulement trois couleurs de base.
  • Cocolait au château

    Depuis que Cocolait a appris qu’il allait passer son samedi au château de Cressier, le voilà qui s’imagine un tas d’histoires de chevalier et de roi. On ne peut plus l’arrêter.

    Une choses est certaine; des histoires ? Il y en aura samedi prochain à Cressier; https://iliredition.com/salon-du-livre-au-ch-teau.html. Cocolait et moi espérons vous retrouver dans ce lieu idyllique pourtant inondé il y a presque une année. A présent, ce village vibre à nouveau de joie et de créativité. Venez vous immerger dans cette ambiance festive et chaleureuse qui vous permettra de trouver de quoi bouquiner cet été.

  • Le Pêcheur et l’hirondelle

    En ce matin de mai
    Un pêcheur prend la mer
    Savourant la beauté
    D’une nature prospère.

    Dans le ciel calme et bleu
    Voyage une ombrelle
    Aux motifs d’oiseaux fougueux
    Migration ou éphémère dentelle ?

    Sérénité temporaire en tout cas
    Lorsque sans prévenir
    La tempête s’abat
    Il faut vivre ou périr !

    Dans le trépas de l’immensité
    Surgit une gifle de terreur.
    Les eaux chargées de monstruosités
    N’épargnent aucune erreur.

    Les voiles dansent,
    Elle craque, la goélette.
    Au loin le filet de pêche s’élance.
    Oublié, le chant des mouettes.
    Tout est en transe.

    Les flots inclinent les vagabonds.
    Transformant son linceul en landau,
    Le pêcheur prend la vague au bond.
    Le voilà sauvé des eaux.

    Le bourru barbu a retrouvé l’espoir.
    Le courage s’est perché dans son coeur
    Comme l’hirondelle sur son perchoir
    Qui s’envole libre et sans peur.

    Sévane

  • La cabane

    Telle une vieille connaissance

    Qui se présente au gré des saisons

    Enrichie de toute l’expérience

    Que la nature sculpte à sa façon

    Sa parure n’est plus vernie

    Les hivers l’ont trop caressée

    Ses couleurs se sont assagies

    Laissant apparaître ses fragilités

    Elle ne combat pas le temps

    Parfois même lieu de dégustation

    Elle s’y abandonne joyeusement

    Ancrée dans la terre des vignerons

  • L’appel des Merles
    L’appel des Merles

    Le ciel s’humidifie déjà de l’encre de la nuit

    Laissant ses couleurs pastelles se diluer

    En toile de fond de cet océan de magie

    Les merles, en cet instant précis

    Se font entendre de leur dulcinée

    Produisant d’excessifs gazouillis

    Pour les guider jusqu’à leur trône boisé

    Bientôt de nouvelles familles

    Habilleront notre paysage raffiné

    Sévane

  • A toi, petit pinson des arbres
    Te voilà, l’air de rien
    Conquérant d’un nouveau terrain
    En l’espace d’un matin
    Celui que tu fais tien
    n’est autre que mon jardin
    Mais peu importe que ce soit le mien
    Puisque la nature toute entière t’appartient
    En être la témoin
    Est un précieux bien

    Sévane

  • La maison dans la neige

    Perchée sur une colline

    Cachée par la neige

    Elle respire cette nature caline

    Qui tourne en manège

    Les flocons qui la satinent

  • Quand l’automne déguise la nature…

    …Un petit renard en profite pour se déguiser lui aussi afin de surprendre son amie l’écureuil. La fête peut commencer ! Elle durera toute une saison ! Profitons-en !

  • La première dédicace

    Lorsque l’on te demande une dédicace

    Ne masque pas ta pudeur d’une grimace

    Laisse ton cœur te pomponner d’audace

    Afin que s’esquisse une simple trace

    Sévane

  • Mademoiselle écureuil se prépare à fêter l’automne.
  • Toi je t’adore !

    Est-ce dû à tes oreilles divergentes ou plutôt à ton regard ténébreux ? A ton air nonchalant ou à tes narines proéminentes ? C’est vrai que ça fait beaucoup d’atouts mais à bien y réfléchir, c’est juste que tu as l’air trop sympa et que j’ai vraiment trop de chance de te croiser tous les jours à côté de chez moi 🙂

  • Jeune goéland ou gwelan

    Durant nos vacances bretonnes, j’ai notamment appris que Goéland vient de gwelan. Cela signifie pleurer. S’il est vrai que ces oiseaux semblent bien souvent pleurer, ils nous font aussi sourire. D’abord parce qu’ils nous apportent un vent iodé nous poussant à nous évader au large de notre quotidien. Mais aussi parce qu’il est tellement drôle d’observer les vacanciers désireux d’entamer leur première morce d’un goûter bien mérité qui bien vite leur est retiré par ces habiles oiseaux. On en rit d’autant plus quand on en a été victime. Et puis, c’est la nature !

  • La tène a enfilé son apparat d’été
  • Hop Suisse !

    Maman escargot n’en revient pas ; elle n’aurait jamais pensé être une supportrice assidue de football. La Suisse brille par son humilité, espérons qu’elle la conserve quoiqu’il arrive ! Hop Suisse !

  • Lucarne végétale sur la Thielle
  • Rouge-gorge
    L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est voeux2021RGBLEU.png.
  • Jeu de 54 cartes illustrées par 54 créatifs

    https://www.regles-de-jeux.com/regle-de-canasta/

    Ce projet sans but lucratif initié et géré très professionnellement par Dawn fût vraiment une superbe expérience que j’espère pouvoir renouveler un jour dans un autre contexte. C’est un peu comme jouer un 4 mains au piano, le résultat est d’autant mieux qu’il est réalisé à plusieurs. En effet, c’est magique de découvrir les créations des 53 autres créateurs du jeu. Je dirais même euphorisant. J’ai été obligé de m’améliorer en retouche numérique sur le logiciel open soft GIMP. Il y a encore beaucoup de progrès à faire mais grâce à cette expérience plus numérique, l’élan est là. Merci @Dawn_illu de m’avoir confié le Valet de coeur, carte à laquelle j’ai eu envie de donner une touche valaisanne pour le jeu de mots.

  • Détrône-moi si tu peux !

    Tout l’attrait des jeux de billes réside dans le fait d’en amasser le plus possible.

    « Détrône-moi si tu peux «  a été créé pour les élèves du collège du Wavre lors de leur prochaine fête de fin d’année.

    Dans la boîte du jeu, ils trouveront 3 billes de bases, une ficelle pour mesurer la distance du lancer et un château à monter.

  • Joyeuses Pâques !

    A la ferme de James, la chasse aux oeufs de madame oie a eu beaucoup de succès. Un enfant a même eu la chance d’apercevoir une petite lapine pas assez discrète.

  • Les oeufs sont prêts !

    Les oeufs sont prêts ! James le fermier peut retourner à ses champs et madame l’oie se lancer dans l’organisation de la chasse aux oeufs.

    James le fermier peint par son oie, mars 2021
  • L’ oeuf de Pâques de madame l’oie

    Cette année madame l’oie commence tôt à peindre son oeuf de Pâques. Il faut dire que le défi est de taille ! James le fermier a accepté de poser pour elle !

  • Ce petit four qui réchauffe nos enfants

    En cette semaine de réveil du Petit Four de Wavre, j’avais comme une envie de l’illustrer : Cependant, je trouve que rien est aussi beau que la réalité : son gardien qui en prend soin, ses fées qui le dorlotent en dansant avec la farine telle une poudre de perlimpinpin se répandant au gré des flammes. Ce qui en ressort est si magique qu’il suffit de découvrir le sourire des enfants au retour de leur matinée d’école. Je publie donc ici un croquis aussi vite fait qu’une pause de 10h un jour de P’tit Four.

  • 1er Mars – Le Pèlerinage des escargots révolutionnaires
    « Dépêchons les enfants si nous voulons arriver à la collégiale le 1er mars ! »
    Les escargots sont arrivés à temps à la collégiale de Neuchâtel et ont pris place sur une étrange coquille.
  • Le Harle et le Cormoran

    Immersion sonore et visuelle cet après-midi à Saint-Blaise. Il y en avait des Klaxons différents. Le harle secouait sa tignasse brune pendant que le cormoran se la jouait mannequin sur son rocher. Évidemment le cormoran est beaucoup plus grand que le harle mais le but de cette esquisse était de les croquer sur le vif, la précision ne s’est pas jointe à mes coups de pinceaux.

  • Jour de pluie ?
  • Le faucon Crécerelle

    Il ne s’en doute pas, mais à chacune de mes promenades, je l’entends, je l’observe et l’admire. Bref, je le croque en croquis. Bien qu’un peu plus cruel pour les rongeurs, Il est aussi joyeux qu’une hirondelle. Aucun complexe ne semble l’habiter, même pas sa taille. Il est pourtant très petit pour un rapace mais cela lui donne l’avantage de son agilité. C’est un flibustier du ciel qui ne semble pas connaître la fatigue. Restant de longues minutes à voler en stabulation libre, le gainage n’a pas de secret pour lui. Puis lorsque vient le moment de chasser, il plonge telle une fusée sur sa proie qui n’a qu’à s’incliner.

  • La Grand’Rue
    27.12.20, Wavre

    Je suis la plus grande de mon village, un passage incontournable pour se rendre au travail.

    Je fais rouler, presque au pas, quelques jolis carrosses, certains plus bruyants que d’autres.

    De nombreuses mains s’animent pour saluer deci une voisine, delà son enfant qui débouline.

    On me traverse sans crainte. D’ailleurs, j’aurais méritée d’être pavée tant je suis arpentée.

    Souvent, je suis le lieu de rendez-vous des jeunes amoureux. Je pourrais border la Seine, ils n’y verraient que du feu.

    Où que l’on soit, une grande rue reste une Grand’Rue.


  • Irruption sauvage

    Les promenades, les évasions ont cela d’extraordinaire qu’elles nous laissent des souvenirs parsemés de magie. De notre récente marche entre Nods et Chasseral me reste le bruit des pas dans la neige, la vision des baies rouges telles des boules de Noël que la toile neigeuse aurait offertes aux sapins. Mais il me reste aussi cette quête du sauvage, découvrir un écureuil, un chamois. Cette fois-ci, ce ne fût qu’une quête. Nous en étions certainement entourés mais ils se faisaient si discrets que nous ne les avons pas aperçus. En attendant, on peut toujours en rêver…

  • Illuminations de Noël

    Les lumières ne cessent de briller à Neuchâtel depuis le week-end dernier. Quel bonheur de déambuler dans ses ruelles étoilées.

  • Les étourneaux sansonnets
  • Vue depuis Montreux
  • Petit port privé, précieux et majestueux dont on taira le lieu
  • Jour de pluie = bain de folies
  • Grèbes huppés à la Ramée
  • Rapaces et agriculteurs = duo gagnant

    Plus de produits chimiques pour empêcher les petits rôdeurs à longues et fines queues de s’inviter dans les champs : juste des rapaces invités à se percher par-ci par-là pour pêcher les intrus. La biodiversité en ressort ainsi gagnante.

  • Saint-Blaise

    Le charme authentique des vieilles ruelles.

  • Rives neuchâteloises

    Alors que les hirondelles se sont envolées vers l’Afrique, les mouettes se reposent sur les rives neuchâteloises.

  • Uri-Bauen

    Départ pour notre marche pour le Grütli

  • En souvenir d’une flânerie neuchâteloise
  • Jardin d’Eden ?